vendredi 26 octobre 2007
Elle est prise. Par qui ? quoi ? je ne sais pas, on me dit qu’elle est prise et que c’est tout naturellement qu’elle ne me regarde pas. C’est fou comme on peut avoir besoin des autres et les fuir dans le même temps. Je ne vois qu’elle et elle s’octroie le loisir de m’ignorer.
Je ne souffre même plus. Werther souffre, car il est près de Charlotte, il la respire, la hume. On me prive de cette détresse, je ne pourrai même pas me suicider. On me condamne à mourir en bon catholique.
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2 commentaires:
Probablement ce blog est-il déjà clos...
Tombé dessus par hasard, j'y ai retrouvé quelques réflexions de mes propres vingt ans, et un Botticelli qui m'a rappelé la belle Lucrezia Buti, l'inspiratrice de Filippo Lippi.
Au bout du compte, on peut trouver le soleil au milieu de la nuit...
Amicalement.
Je ne sais pas si il est vraiment clos, plutôt en hibernation. Tout a un peu changé, et j'hésite à m'y remettre.
J'aimerais avoir votre avis, est ce qu'un homme heureux peut écrire quoique ce soit de beau ?
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