vendredi 19 octobre 2007

Enchantement de la grève et autres insanités révolutionnaires

Vendredi jour de mi-grève, nombres d’opportunités plus merveilleuses les unes que les autres :
Parcourir les bords de Seine, avec les stations d’essence désaffectées,
le pont Mirabeau « Il me semble que la nation assemblée ne peut pas recevoir d’ordre.(…) Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple, et qu’on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes. »
Le pont de Garigliano et la victoire de Monte Cassino.
Le pont de Bir Hakeim et la victoire des FFL, la « France éternelle »
Le pont d’Iéna ou Hegel dit de Napoléon « Les grands hommes, à la différence de l’homme du commun saisissent l’universel et le prennent pour but. En poursuivant leurs fins ils accomplissent ainsi un universel qu’ils ont puisé en eux-mêmes, mais qui existait de toute éternité et qui exprime en eux les tendances les plus profondes de l’époque, raison pour laquelle les autres hommes se rangent derrière leur bannière. Grand homme par excellence Napoléon, ce centre du monde immobile sur son cheval. »

Les ponts de l’ouest parisien sont le passé récent de la France, sa gloire éclatante. Cette France éternelle qui n’a en fait que 200 ans je la préfère à celle des ponts St Louis, Pont Notre Dame et pont de l’Archevêché.

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